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Dans la matinée, nous arrivons à Agouti. Les maisons ont de grands escaliers extérieurs d'où nous épient les enfants ; mais dès que nous sortons l'appareil photo, les adultes leur disent de se cacher. Les femmes non plus ne veulent pas être photographiées. Dans les villages, elles passent furtivement quand nous sommes là. Le contact est difficile |
Vue du grenier collectif en ruine Sidi Chita |