Portrait de AHMED

malicieux, et pétillant, dissimulé derrière ses lunettes et le chèche retroussé sur le nez quand il dit des plaisanteries, gai et joueur, accueillant et gentil, mais aussi artiste-dessinateur dans le sable, rêveur, et surtout amoureux de son désert, il se dit, non pas algérien, mais algéroi

 

 

Le premier thé est amer comme la mort, le 2ème est doux comme la vie, le 3ème est léger comme l'amour. Pour les thés suivants, on parle de fantaisie, puis de gaspillage et enfin d'interdit
Ahmed parle au cheval-roche pour le persuader d'avancer
les carnets de Marielle